Sushis

20191027_123510

Aujourd’hui, c’est sushis ! Une commande de Petit Pierre, 3 ans et 1/2, qui a des goûts déjà bien affirmés pour son âge. 😉

Et puisque je n’ai pas non plus envie de passer des plombes en cuisine et que, chez moi, c’est Tupperwareland (« Maman, j’aime trop mes boîtes à bêtises Minions, je pourrais avoir les boîtes à bêtises Schtroumpfs, s’il te plaît ? » toujours Petit Pierre), j’en ai jusque dans la salle bain, c’est dire (ouaich, même un porte-savon Tupperware collector, voui madame !), bref, j’ai utilisé cette recette (et vous trouverez ici la vidéo qui va bien).

Pour les nigiri, j’ai utilisé de la truite fumée et pour les maki, des feuilles de nori, un avocat et les chutes de truite fumée.

Bon, sinon, encore quelques simplifications :

  • il y a belle lurette que j’ai remplacé le vinaigre de riz par du vinaigre blanc (celui-là même que j’utilise pour le ménage, parfaitement) ;
  • et le riz à sushi par du riz à risotto ;
  • pour l’assaisonnement du riz : un demi-verre de vinaigre, j’y ajoute une cuillère à soupe de sucre et une cuillère à café de sel, hop, je mets le verre une minute au micro-ondes, je touille et je verse sur le riz.

Avec les moules Tupp, c’est super vite fait, et le riz est toujours parfait avec le cuiseur à riz !

Non, je ne vends pas des Tupperware, mais, comme je le dis toujours en rigolant, si je m’y mettais, je ferais un carton, je suis capable de vous prendre la tête pendant des heures, avec. Donc, j’arrete pour aujourd’hui, parce que vous allez finir par me détester. 😉

Bon appétit 🙂

 

La pizza della mamma

Aujourd’hui, une petite recette toute simple, mais néanmoins un hommage à mes deux grands-mères : ma grand-mère maternelle, Marie, ma mémé que j’ai évoqué à plusieurs reprises dans ces pages et ma grand-mère paternelle, Antonia, ma nonna sicilienne.

J’ai des souvenirs d’enfance de vacances, lorsque Mémé et moi allions au marché : elle faisait sa pâte à pizza avant et, au retour, on n’avait plus qu’à l’étaler directement dans le moule à tarte avec les doigts. Elle ajoutait alors du jambon, du coulis de tomates (élaboré à partir des tomates du jardin de Pépé, qu’elle congelait en portions pour en avoir toute l’année) et fromage, sauf sur une part, car elle n’aimait pas le fromage. De ma nonna, je tiens une recette de sauce tomate qu’elle a transmis à mon papa et qui me l’a transmise à son tour.

Donc, pour moi, là, clairement, c’est de transmission dont il s’agit. Sauf que j’ai décidé de ne pas m’arrêter à mon fils. Voici donc mes deux recettes-hommage pour vous aussi.

1. La pâte

Oui, ben, une pâte à pain, c’est une pâte à pain, hein, on va pas aller chercher midi à quatorze heures……en l’espèce, j’ai utilisé la recette se trouvant au dos de mon sachet de levure.

Sauf que j’ai mis moitié/moitié farine type 110 et farine type 45 et que j’ai ajouté quelques herbes de Provence.

Resized_20180307_101140

Après, j’ai improvisé avec des restes du frigo pour la garniture.

Resized_20180307_115056

2. La sauce tomate

Si c’est la saison des tomates, tant mieux, sinon une petite boîte de tomates entières pelées, c’est tellement pratique…

Il vous faut donc des tomates, de l’ail, de l’huile d’olive, du basilic, un morceau de sucre et du sel.

On tapisse le fond d’une petite casserole de gousses d’ail émincées et d’huile d’olive et on fait chauffer tout doucement, jusqu’à parfumer la maison.

En plus, ça fait répulsif naturel contre les vampires, bien que les vampires diurnes soient plutôt rarissimes, je vous rappelle que les frères Salvatore ne sont pas des vrais diurnes, ils portent une bague magique qui leur permet de sortir en plein jour. Mais je m’égare.

Bref, vous ajoutez tomates, sel, basilic et morceau de sucre, mélangez et laissez mijoter 20 minutes.

Yapluka ajouter la sauce, puis le fromage :

Resized_20180307_115653

Malheureusement, je n’avais pas de mozzarella, je me suis donc contentée d’emmenthal râpé.

J’ai mis au four à chaleur tournante 30 minutes à 225 degrés (c’est juste une indication, moi j’ai un combiné four à chaleur tournante/grill/micro-ondes/options bizarres).

Et voilà !

Resized_20180307_122906

Elle a été très appréciée…..

20180307_125737

Bon appétit !

Pain surprise

J’ai toujours eu envie de faire moi-même un pain surprise, de A à Z. C’est le truc régressif, de celui qu’on achetait tout fait pour les fêtes et les repas de famille, pour moi.

A tout bien y réfléchir, ça ne m’a pas paru tellement sorcier. Pourtant, ça a l’air compliqué de prime abord. Alors, j’ai bidouillé un pain surprise à ma façon, fourré avec des garnitures très simples (au cas où je me serais plantée, je n’allais pas sortir direct le saumon fumé et le foie gras).

Bref, j’ai commencé par le pain lui-même : d’après une vieille recette retrouvée dans un classeur à vieilles recettes (nan, mais, faut pas croire, je suis quelqu’un d’assez logique) et que, bien évidemment, je n’avais jamais expérimentée…..et remise au goût du jour :

1. Le pain

  • 250 g de farine blanche type 45 ;
  • 250 g de farine semi-complète type 110 ;
  • 1 sachet de levure de boulanger ;
  • 1 cuillère à café de sel ;
  • 35 cl d’eau.

Dans un saladier, préparer un puits avec la farine. Ajouter au milieu une cuillère à café de sel et la levure de boulanger.

Mélanger peu à peu l’eau tiède à la farine, en tournant.

Pétrir la pâte pendant une dizaine de minutes. Elle doit être élastique, bien lisse et ne plus coller aux doigts.

Resized_20180227_161030

La laisser reposer une heure sous torchon, à l’abri des courants d’air : la pâte double de volume.

Resized_20180227_172842.jpeg

Mettre la pâte dans une petite cocotte, beurrée et farinée – pour moi, l’Ultra Pro rond de 2 litres de Tupperware – et laisser de nouveau monter la pâte, pendant une demi-heure.

Resized_20180227_180541.jpeg

Il ne reste plus qu’à mettre le couvercle et hop ! au four à chaleur tournante à 225 degrés pendant 30 minutes.

Resized_20180227_184823

J’ai bien essayé de tracer des grignes avec un couteau, mais ça n’a pas été concluant.

A ce stade, il ne reste plus qu’à démouler le pain refroidi et à l’oublier dans votre cuisine jusqu’au lendemain.

Resized_20180227_185049.jpeg

2. La découpe et la garniture

Bon, là, j’ai bidouillé une méthode perso, sans trop me casser la tête. Bien sûr, vous trouverez des tas de vidéos sur YouTube qui vous monteront comment couper le pain dans les règles de l’art, mais, franchement, pour quoi aller chercher midi à quatorze heures ?

Donc, j’ai commencé par couper le tour. On se retrouve avec un cercle de croûte et un cylindre de mie….

20180228_091137.jpg

…..dont j’ai coupé les bouts, pour faire le fond – que j’ai bien remis à sa place – et le couvercle.

20180228_091243.jpg

Je me suis attaquée alors au cylindre de mie : je l’ai coupé horizontalement en deux cylindres identiques, puis chaque cylindre en deux verticalement pour former des demi-lune.

20180228_091414

J’ai coupé horizontalement en deux les demi-lune. On se retrouve avec 8 demi-lune.

20180228_091608

J’en ai tartiné la moitié : 2 avec du fromage frais ail et fines herbes et 2 avec de la terrine de sanglier.

20180228_091944.jpg

J’ai ensuite mis les demi-lune non tartinées sur les demi-lune tartinées pour faire des sandwichs, que j’ai coupé en quatre et remis au fur et à mesure à l’intérieur du pain pour le reformer.

20180228_092249.jpg

Et voilà le résultat !

20180228_092351.jpg

Il ne reste plus qu’à remettre le couvercle et à savourer votre triomphe. Personnellement, je l’ai offert à mes parents le jour-même, donc c’est bien la seule chose que j’ai savourée, mais, je l’avoue, je suis fière de moi sur ce coup-là. 😉

20180228_092419.jpg

Apparemment, il était aussi bon que beau, je suis ravie. 🙂

 

 

 

 

Gâteau gourmand aux pêches

Mon dessert fétiche, fait et refait depuis toujours !

Une recette découpée dans Télé Poche il y a au moins une bonne vingtaine d’années, à l’époque, le Chef Francis Vandenhende (le mari de Denise Fabre) y tenait une rubrique culinaire. Oui, je sais, j’ai toujours des références culturelles qui décoiffent.

Préparation : 20 mn

Cuisson : 35 mn

Pour 4 personnes : 500 g de pêches fraîches ou au sirop ; 2 œufs ; 100 g de sucre ; 1 sachet de sucre vanillé ; 75 g de farine ; 6 cuillères à soupe de Maïzena ; 1/2 sachet de levure chimique ; 125 g de beurre ; 1 pincée de sel.

  1. Épluchez les pêches, coupez-les en deux et enlevez le noyau. Posez le côté bombé au fond d’un moule à manqué beurré.
  2. Dans un saladier, battez les œufs entiers avec le sucre et le sucre vanillé jusqu’à ce que le mélange blanchisse.
  3. Ajoutez farine, Maïzena, le beurre fondu et une pincée de sel. Fouettez au batteur et versez sur les pêches.
  4. Enfournez 35 mn à four préchauffé therm 6 (180 °C). Laissez refroidir avant de démouler. Dégustez tiède à l’heure du café ou du thé.

Personnellement, j’ai toujours utilisé des pêches au sirop pour gagner du temps ou, à défaut, tout autre boîte de fruits trouvée au fond de mon placard (je crois que je l’ai même fait à la macédoine de fruits, un jour).

De même, je ne le démoule pas, je le laisse dans un joli plat choisi pour l’occasion (traduire : un de mes Émile Henry). Et il est très bon froid.

Je l’ai fait à deux reprises cet été, notamment pour les 6 mois de Pierre (il a même insisté pour en goûter un – minuscule – morceau, mon loupiot) : vite fait, bien fait et qui fait toujours son effet !

dsc02045

Déjeuner entre filles

Déjeuner et après-midi entre filles début février dernier (ou fin janvier ? je ne sais plus où j’habite. Damned ! le temps passe vite !!!), avec ma meilleure amie 🙂

Pour commencer, apéro avec tomates cerises, crackers paléo et paléo colada (une idée de génie, remplacer le rhum par du jus de gingembre, puisque nous étions toutes les deux enceintes, « copines de ventre » comme elle le dit si joliment 😉 )

DSC01963

Crackers paléo

Ensuite, exit le paléo, j’avais fait une de mes spécialités, dont tout le monde raffole : les sushis thon mayonnaise de Cléa, une recette que je fais depuis pas mal d’années. Je les accompagne toujours de sauce soja relevée de wasabi.

DSC01962

Maki sushi

Et pour le dessert, ma copine avait amené deux succulents petits gâteaux d’une super pâtisserie de chez elle.

 

Voilà, voilà. J’ai plusieurs livres de Cléa, j’ai toujours bien aimé son blog (je le conseille à tous les fans de cuisine bio) et récemment j’ai acquis le livre de Blandine du blog Bmoove (je le conseille à tous les fans de paléo).

Par contre, je n’ai jamais été douée pour rouler parfaitement les makis dans la feuille de nori, alors j’utilise un moule à maki (on trouve de tout sur eBay !) et, une fois le rouleau démoulé, je l’enveloppe dans la feuille de nori.

 

Mug cake salé

Soit mon petit-déjeuner salé de ce matin !

Toujours sur la base des recettes des Paresseuses, avec deux petits changements pour faire baisser l’IG (en rouge).

Mug cake Knacki

  • 1 œuf
  • 1 c. à s. d’huile d’olive
  • 4 c. à s. de lait d’avoine
  • 3 c. à s. de farine de blé intégrale type 150 bio
  • 1 grosse pincée de bicarbonate de sodium
  • 1 saucisse Knacki
  • 1 c. à s. de fromage râpé (emmental, parmesan…)

Battez l’œuf et l’huile d’olive. Ajoutez le lait d’avoine, la farine intégrale bio, et le bicarbonate de sodium. Mélangez bien.

Ajoutez la saucisse coupée en petites rondelles.

Saupoudrez de fromage et faites cuire 15 minutes au bain-marie (selon la méthode de Marie, voir le lien dans mon article précédent).

DSC01798

Avec une tasse de thé, c’était parfait. Et délicieusement régressif…..oui, les saucisses Knacki, c’est mon péché mignon depuis l’enfance….

Mug cake à IG bas

Le goûter de l’été !

Inspiré d’une recette trouvée dans « Les mugs cakes des paresseuses » et arrangé à ma sauce….

Pour un mug cake (en rouge mes modifications) :

Mug cake coulant au chocolat à IG bas

  • 30 g de beurre
  • 1 œuf
  • 2 c. à s. de fructose
  • 2 c. à c. de soja cuisine
  • 2 c. à s. de cacao non sucré
  • 6 c. à s. de farine de blé intégrale type 150 bio
  • 1 grosse pincée de bicarbonate de sodium
  • 3 carrés de chocolat noir

Faites fondre le beurre au bain marie dans le mug.

Dans ce même mug, fouettez le beurre fondu, l’œuf, le soja cuisine, le cacao non sucré, la farine intégrale type 150 bio, et le bicarbonate de sodium.

Enfoncez les carrés de chocolat au cœur du mug et faites cuire au bain marie pendant 15 minutes.

DSC01796

Faire cuire le mug cake au bain-marie, outre le fait que, personnellement, je déteste le four à micro-ondes, cet engin du diable fait des mug cake caoutchouteux et ce mode de cuisson est tout sauf naturel, donne de succulents mug cakes, fondants juste ce qu’il faut.

C’est une super idée de Marie Chioca, qui tient un blog culinaire génial et dont je possède plusieurs livres (dont le dernier, la Cuisine de la Minceur Durable, prône justement le goûter sucré vers 17h00, qui suis-je pour lutter contre de bons conseils diététiques, hein ? 😉 ).

Petit déjeuner « Fête du travail »

Je continue mes expériences culinaires sans gluten, sans lait et sans sucre raffiné. Non pas que j’ai des soucis d’allergie ou d’intolérance, mais je suis curieuse et ça m’amuse de découvrir de nouvelles saveurs. Et puis, cuisiner plus sain, c’est très bien aussi, parce que le lait de vache, le sucre blanc et le blé, ouais, bof… dans cette optique, j’essaie de privilégier les aliments à IG bas au maximum.

Bref, hier soir, en sortant du bureau, j’ai fait un saut chez Satoriz. J’ai eu le coup de foudre pour ce magasin (pensez-vous donc, au rayon produits capillaires, ils ont des produits Khadi ! si, si, les colorations, les huiles et les shampoings, même de l’huile de noix de coco !!!!!!), notamment parce que j’ai pu y trouver les trucs bizarres que j’adore, je suis donc ressortie avec du gomasio de la mer, mais aussi les trucs bizarres que je voulais essayer depuis un moment, j’ai donc pris également de la farine de lupin, de la farine de coco et de la crème kokkoh.

C’est cette dernière que j’ai utilisé ce matin pour mon petit déjeuner expérimental. Ouais, parce qu’aujourd’hui, c’est férié et j’avais envie de nouveauté. J’ai trouvé plusieurs recettes sur la toile, notamment chez Valérie Cupillard.

Sans plus attendre, voici donc la bête, succulente et savoureuse :

DSC01746

Avec une tasse de thé, c’était parfait. 🙂

Ma recette :

  • Dans une petite casserole, porter à ébullition 25 cl de lait de riz dans lequel on aura délayé 2 cuillères à soupe de crème kokkoh. Laisser cuire quelques minutes.
  • Hors du feu, ajouter 1 cuillère à soupe de poudre d’amandes et 2 cuillères à soupe de sirop d’agave, bien mélanger et verser dans un bol.
  • Parsemer de noix de coco râpée, amandes en tuiles et cannelle en poudre.
  • Ajouter des fruits en morceaux, personnellement, je suis incapable de résister à de bonnes fraises bien goûteuses.

L’avantage de cette recette, c’est que les variantes sont infinies, en fonction de ce que l’on a sous la main.

Verdict ? Je suis ravie ! Il y a quelques temps que je voulais goûter cette crème kokkoh, c’est chose faite.

Je vais maintenant l’incorporer dans d’autres recettes, je compte notamment l’essayer pour remplacer la crème fraîche (dont je n’ai jamais été fan) ou pour faire des sauces type Béchamel (dont je n’ai jamais été fan non plus), ou encore dans des pâtes à tarte sans gluten (et donc sans élasticité et friables, la crème kokkoh compense ces désagréments).

A suivre….

Quiche au poulet sans gluten et sans lait

Ou comment je m’amuse à inventer des recettes à IG bas mixées Seignalet dans ma cuisine le soir en rentrant du boulot…. Oui, je sais, j’ai une vie palpitante.

Après un hiver passé à écumer les McDo, Quick, KFC et autres kebabs, je me suis retrouvé avec 1/des kilos en trop et 2/ autant d’énergie qu’une palourde trop cuite. Bref, fallait agir, et vite !

J’ai commencé par faire une pâte minute Tupperware à ma sauce (recette originelle : 250 g de farine, 1 cuillère à café rase de sel, 1 Mignonnette 1/2 d’huile et 1 Mignonnette 1/2 d’eau très chaude), c’est-à-dire :

  • 200 g de farine de pois chiche et 50 g de Maïzena
  • 1 légère cuillère à café de bicarbonate
  • 1 Mignonnette 1/2 d’huile d’olive
  • 1 Mignonnette 1/2 d’eau très chaude

Pour celles qui ne connaissent pas le principe de la pâte minute Tupperware, on met tous les ingrédients dans le bol mélangeur, on ferme bien et on secoue énergiquement. Normalement, ça donne une boule de pâte, dont j’ai directement foncé mon moule à tarte.

Ensuite, j’ai fait cuire deux blancs de poulet coupés en morceaux dans de l’huile d’olive, à la poêle, que j’ai assaisonnés avec du gomasio.

Pour la garniture, j’ai mis 200 ml d’eau tiède dans mon shaker Tupperware (tout neuf, parce que l’ancien n’était plus étanche, j’ai retapissé la cuisine la semaine dernière en faisant une pâte à crêpe, c’est le chien qui était content !), j’ai ajouté 2 cuillères à soupe de purée d’amande, puis j’ai bien secoué.

Ensuite, j’ai ajouté 4 oeufs, 4 petites cuillères à soupe de farine de pois chiche, sel et poivre et hop ! on secoue à nouveau !

Il ne reste plus qu’à mettre le poulet sur la pâte, verser la préparation du shaker, et faire cuire 30 minutes au four à 180 °C (tout en priant le Ciel et tous les Saints que votre truc expérimental sera mangeable….).

DSC01733

La bête au sortir du four

Verdict : Non seulement c’est finalement mangeable…… mais c’est même….. carrément bon !!! Mouahahah !!!!!!!!

DSC01734

Edit du 06/11/2018 : Cet été, j’ai fait beaucoup d’expériences avec les farines sans gluten. Ma maman s’étant découvert un SII, je l’ai accompagnée dans sa démarche d’éviction totale, puis partielle quand tout est rentré dans l’ordre, du gluten.

Si cela était à refaire, je ferais désormais cette pâte ainsi : 150 g de farine de riz complet et 100 g de farine de pois chiche. C’est le livre de Brigitte Delaye, « Comment passer au sans gluten » qui m’a inspiré dans mes expériences. Ce livre est formidable, je vous le conseille, j’ai converti mes recettes de douceurs Tupperware préférées grâce à lui, ainsi que « Mon cahier sans gluten » de Véronique Liégeois, qui regorge de petites recettes sympathiques.

Bref, faites vos propres expériences en gardant en tête que la base, c’est la farine de riz (que je préfère complet, quant à moi, pour l’IG), à laquelle vous pouvez adjoindre d’autres farines : par exemple, farine de châtaigne pour faire de savoureux pancakes ou encore farine de coco (en petite quantité) pour apporter un petit truc en plus à vos gâteaux. Là encore, j’aime bien 50 % de farine de riz complet, 40 % de farine de pois chiche et 10 % de farine de coco.

Voilà, vous savez tout. 😉

Ratatouille de feignasse

Ou la recette expérimentale du jour !

Ben oui, il fallait bien que je teste le nouveau joujou que je viens de recevoir….. une découverte que je dois à Marie du blog Saines Gourmandises (j’ai même deux de ses bouquins, ses recettes sont épatantes), j’ai nommé le Roaster ! Je l’ai acheté ici (il était en promo).

Donc, j’ai rassemblé des trucs qui traînaient dans mon frigo, à savoir une courgette, un poivron et un demi-chorizo.

DSC01600

On épépine la poivron et la courgette, on pèle le chorizo, on découpe en morceaux grossiers et hop, dans le bol du Délimix !

Quelques appuis sur la touche « pulse » plus tard, on obtient une sorte de hachis.

DSC01601

Il ne reste plus qu’à le verser dans le Roaster, avec un peu de pâte d’ail, un peu de bouillon cube, un peu d’huile d’olive. On touille.

On met le couvercle et on laisse cuire à feu doux pendant un quart d’heure, c’est tout.

DSC01604

Ce truc est génial, il passe sur l’induction !

Et voilà, une petite recette de feignasse super vite faite et  surtout savoureuse.