Trente-neuvième carré du plaid progressif de chez Abracadafil
Un joli motif que j’ai pris beaucoup de plaisir à tricoter
Et la version de ma maman ici
Trente-neuvième carré du plaid progressif de chez Abracadafil
Un joli motif que j’ai pris beaucoup de plaisir à tricoter
Et la version de ma maman ici
La maternité où je vais accoucher m’a fournie une liste d’affaires à emmener pour le séjour dans ses murs.
Vu ladite liste (et encore, ça va, il n’y en a pas trop, j’en ai vu des bien pires sur la Toile lol), j’ai eu envie de me coudre un gros sac de sport pour tout ranger dedans.
J’ai jeté mon dévolu sur le sac de marin du Tome 1 des Doigts d’Or. Un modèle que je connais depuis toujours puisque ma maman s’en était servie pour me coudre une version plus petite pour y ranger mes affaires de danse classique il y a pas loin d’une trentaine d’années…. et que j’utilise toujours les années où ça me prend et que je me réinscris à un cours de danse classique !
Bref, sans plus attendre, voici la bête, réalisée dans une jolie bachette imprimée trouvée chez Mondial tissus (et couleur taupe, par-dessus le marché, ma couleur préférée avec le violet !) :
Avec la poignée qui permet de le porter sur l’épaule, comme un vrai marin, dixit les Doigts d’Or :
Et pour celles qui voudraient le même, Sandrine alias Madame Capucine a scanné les explications et les a postées sur son blog. C’est pas génial, ça ?
Petites modifications par rapport au modèle original : pas fait les boudins en mousse au milieu des poignées et montage de la fermeture de façon invisible et sans les passepoils.
Et comme il me fallait aussi une pochette dans laquelle mettre des affaires de bébé pour la salle de naissance, j’ai utilisé le modèle du Chouette Kit n° 15 :
Vive la couture ! Vive la couture ! Et vive la couture ! 😉
Trente-huitième carré du plaid progressif de chez Abracadafil
Un carré avec une feuille dont j’ai tricoté la forme en jacquard et rebrodé le contour, la tige et les nervures
Et la version de ma maman ici
Une cousette totalement inutile, donc indispensable, le tapis de machine à coudre !!!!
Le voici en action avec mon nouveau jouet, oui, lui, le responsable, avec Petit Crapaud, bien sûr, de ma frénésie de couture de ces derniers mois….
C’est en tombant sur un joli modèle de tapis de machine à coudre sur un blog que j’ai eu l’envie, là, comme ça, de m’en coudre un aussi. Sauf que les tutos que j’ai trouvés ça et là ne me parlaient pas plus que ça.
Alors, je me suis dit que, finalement, ça ressemblait fort à mon tapis à langer. J’ai essayé ce dernier en tant que tapis de machine à coudre ; il était parfait en largeur, mais bien trop long, et comme je ne suis pas (encore) une mère indigne qui pique les affaires de son rejeton même pas encore né, j’ai repris les explications et refait le même tapis. Je l’ai simplement fait moins long et je n’ai pas cousu de ruban en haut.
Avec, toujours, la rangée de poches à soufflet, mais un autre tissu intérieur.
Comme toujours, tissus de mon stock (là, il a visiblement diminué de volume, je suis ravie) et un après-midi de labeur, ou plutôt de plaisir. 😉
Trente-septième carré du plaid progressif de chez Abracadafil
Un carré en point de fougère, un point sympa à tricoter, mais qui donne une drôle de forme à ce « carré » au final 😉
Et la version de ma maman ici
Un modèle issu du livre « Créations maternage » pour lequel j’avais eu le coup de foudre en flânant dans ma librairie préférée il y a quelques années et que j’avais acheté dans le fol espoir qu’un jour, peut-être…..
Bref, comme d’habitude, j’ai utilisé du tissu de mon stock. J’ai dépiauté une couette de récup’ pour utiliser son rembourrage. J’ai juste acheté une fermeture à glissière et du ruban de satin au marché. Coût total : 2 €
Je ne sais pas si c’est génial pour allaiter, je verrai en son temps, dans l’immédiat de l’ai cousu pour me caler dans mon lit la nuit, mon ventre me gène de plus en plus, alors déjà que je suis devenue insomniaque depuis environ 6 mois….. (mais bon, les insomnies et un épisode de rétention d’eau avec chevilles et pieds d’éléphant qui a dû durer un mois et demi mis à part, je n’ai souffert d’aucun « maux de grossesse » comme on dit de nos jours, donc je ne me plains pas).
La housse de dessus est amovible pour pouvoir être lavée et comporte des liens pour nouer si nécessaire les deux côtés ensemble. Elle se ferme avec une fermeture à glissière.
Et même si je suis toujours insomniaque, au moins je suis à l’aise lorsque je suis couchée. Et ça, c’est top. Bon, ok, on obtient le même effet en se calant avec un simple traversin, mais je n’arrive plus à m’arrêter de coudre, j’ai vraiment repris goût à la couture. 😉
Trente-sixième carré du plaid progressif de chez Abracadafil
Un carré que j’ai pris plaisir à tricoter, entièrement en jacquard.
Et la version de ma maman ici.